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Le blog de Ben Marzouk C'est un blog qui traite le sujet de la pédagogie et l'éducation

Etude critique du projet de réforme de l'enseignement marocain

Ben Marzouk

 

 

          Introduction:

 

       La réforme présentée par le ministère de l'éducation national marocain était due à relever les défis qu'a connu le secteur,parmi ces défis par exemple les circonstances historiques de l'enseignement que traverse notre pays,alors il était obligé de choisir l'alternative,surtout que le fil de la civilisation de certains pays nous sommes avec eux dans le même chemin,ont surmonté avec succès les défis de la mondialisation.La Tunisie et la Jordanie deux pays soeurs du Maroc ont commencé à grimper l'échelle de la civilisation en pas claires,La Tunisie par exemple a eu son indépendance dans la même année que le Maroc,pourtant nous sommes en combat avec le temps pour rattraper son convoi de civilisation.La mondialisation a obligé notre pays et la plupart des pays en  voie de développement de changer nos politiques non pas  seulement la politique de l'éducation mais toutes les branches de la politique du gouvernement.Le nouvel ordre mondial a appelé à l'unification entre les pays du monde où les pays du tier monde se hâtent pour s'affilier dans certains des puissances et ça n'a pas été un besoin pour se protéger mais faute de l'horreur qu'a subit les pays en développement suite à la chute de Baghdad.Notre économie est devenu en rapport avec l'économie des pays du monde en raison des relations de fraternité et d'amitié qui nous lient d'une part ou parfois en raison des échanges qui se produisent entre notre pays et certains autres pays dans le monde et dans divers domaines.Par conséquent,tout décollage de la civilisation doit être fondé sur une économie forte permettant à l'état de bâtir les piliers de l'infrastructure par la création des aéroports,voies ferrés,des autoroutes,des fondations publiques,des ponts,des centrales électriques et d'autres questions qui entrent dans les projets de constructions des infrastructures qui sont de nature économiques et sociales et la construction du capital d'apport investi dans les installations et les services publiques dans les domaines du transport,la communication,l'eau potable et les égouts et les ports afin de présenter des services au secteur privé.Et si c'est  l'économie qui garanti à l'état son animation ou sa démolition,des études économiques ont montré que des trésors de l'état en plus d'un enseignement moderne et efficace,ces deux peuvent bien réaliser une excellente économie. 

Car les compétences de l'élément humain ne peuvent être réalisées qu'en faveur d'un bon enseignement,et la gestion des stocks du trésor ne peut être produite que par l'élément humain lui même.Cette réforme,adoptée par le ministère vise principalement à fournir aux apprenants des compétences grâce auxquelles ils veilleront sur le développement de l'économie de l'état et fournir le bien-être des citoyens.Toutefois,ce processus de réforme est dans sa période d'expérience personne des experts ne sait dans quelle mesure mettra fin ou les résultats qui en découlera.Cependant les déclarations annoncées par le ministre de l'éducation nationale à cet égard prédissent le succès du plan d'urgence dessiné à cet effet.Son affirmation a prouvé que les problèmes rencontrés par le secteur ont trouvé leur chemin aux solutions par des taux satisfaisants,comme par exemple l'exclusion des élèves,leur surpopulation,le manque des cadres de scolarisation,l'hébergement des élèves et d'autres problèmes dont le secteur se plaignait.Mais ça peut venir à notre esprit en pratiquant l'opération pédagogique que la réforme en question ne concerne que certains problèmes pédagogiques ou les programmes scolaires or le but est ce que réalisera la hausse des indices de la réforme c'est à dire tous les éléments qui assistent à donner un nouveau souffle à l'enseignement à partir des ressources humaines,affaires pédagogiques et autres;Par conséquent,au cours de cette recherche on tentera de résoudre tous les problèmes pédagogiques à partir du concept national et patriarcal basé sur nos coutumes,traditions en suivant les chemins de nos professeurs dans le domaine de l'éducation.

Le docteur Ahmed Ouzi dans la préface du N°45 de sa revue "sciences de l'éducation "du mois d'octobre 2010 a dit:"le par-coureur du programme ou plan d'urgence qui n'est ni une nouvelle réforme ni un indicateur d'échec du projet de la charte nationale de l'éducation et formation,mais il n'est qu'une nouvelle approche visant l'application les notions dictées par la charte nationale et une activation des opérations et objectifs nécessaires annoncés par la charte,en fournissant les conditions et les piliers des ressources humaines,logistiques et matérielles dont le manque de certaines a été l'obstacle entre la réalisation de la réforme sur le terrain de la vérité,ce qui a fait du plan d'urgence de point de vue de son style de son curriculum,un travail de sagesse pour arriver avec la charte nationale de l'éducation et formation au désire principal.je dis que le par-coureur trouvera soit s'agissant des articles de la charte ou du plan d'urgence,en dépit du vouloir et de l'ambition qui les encouragent et le désire qui gouverne leur politique,malgré cela,il ressentira qu'il n'y a pas un arrêt suffisant devant le problème des ressources humaines...".Cet expert dans le domaine de l'éducation prédit des résultats de la nouvelle réforme annoncée par le ministère.Alors la faille est évidente,mais est il possible de remédier à l'erreur avant qu'il soit trop tard?Ou on sera besoin de restaurer les conditions de cette réforme pour servir la bureaucratie.Il est impossible de parvenir à une réforme sans y associer les cadre de l'enseignement en référence des exigences de la charte nationale.Penser à une réforme est une vue sage par l'autorité administration mais il faut prendre en compte le malheur que vivent les hommes et femmes de l'enseignement tant au niveau du mouvement du personnel qu'au niveau de la promotion des avancements dans les échelles pour améliorer leurs situations sociales,dans ce cadre l'administration n'a parvenu à aucune nouvelle cinétique.Ce n'est pas judicieux de renforcer la gestion de l'administration en lui fournissant des moyens de communication très sophistiqués,ce n'est pas une initiative pour produire la réforme,mais c'est une expression indiquant une contradiction pédagogique.parce que la conscience professionnelle exige le sacrifice pour le droit à une acquisition plutôt qu'un dévouement au travail par crainte de la punition ou pour éviter une détérioration sociale attendu.L'avouement affirmé par le docteur Ouzi est suffisante pour corriger tout aspect de réforme prospectif de l'éducation.

Mais le contenu de cette réforme dans le coté éducatif ou pédagogique est un bon choix dans le domaine de l'intégration des acquisitions pédagogiques,si le hasard lui a confié de s'adapter à notre environnement marocain et arabe,en raison de ce qui est censé des mécanisme comportementaux visant à une nouvelle conception de  l'enseignement et de l'apprentissage des pratiques qui favorisent la réalité éducative dans  ce pays de paix,surtout depuis que la réalité éducative dans ce pays est devenu exigeante en invoquant à répondre aux besoins internationaux et aux appels de notre patrie dans le domaine du développement humain et la lutte contre l'élimination tant sur le plan éducatif que social en se positionnant sur l'aide de l'apprenant afin de lui offrir des compétences qui lui permettent de s'intégrer dans l'environnement économique,social et culturel dotés de capacités développées pour faire face à la réalité vécu et l'aider tout au long du cours de son apprentissage pour qu'il puisse assumer la position d'un acteur en gras dans la construction de ce pays et de promouvoir son zèle à sa concurrence.


Les mésaventures de la mise en oeuvre du plan d'urgence.

 

 

   L'idée de la réforme du système éducatif n'est pas la naissance du troisième millénaire,tant chez les intellectuels marocains que chez les arabes en général,mais il y avait des tentatives successives au moment de l'indépendance des peuples arabes,surtout après la découverte d'accumulations des restes des erreurs du colonialisme délaissées après son départ masqué.Dans notre pays le Maroc,les programmes de réforme ont été successif dans le domaine de l'éducation les derniers autour desquels il y avait un consensus national il y a dix ans écoulés,lorsque la charte nationale de l'éducation a été adopté comme programme réformateur et a reçu le consentement d'une grande partie des partenaires sociaux et politiques.Toutefois,le projet de réforme sur la charte comme tout le monde le savait,bien que la société envisageait le succès possible et attendait un bon résultat,la chance était à son opposition et la charte n'a su au contraire que l'échec pour des raisons synthétiques parfois grâce au contenu de cette charte ou parfois à des raisons de formation et d'habilitée1caractérisées par une mauvaise performance et une réduction de rentabilité,il est associé à cet aspect essentiellement un troisième élément représenté dans le coté financier ou matériel,surtout quand l'état était incapable de financer le projet dans son terme logistique2.Ces contraintes ont été combinées pour affaiblir tous les efforts fournis cherchant à construire ce projet  national.face à cette impasse dans la réussite du projet,la situation a imposé aux superviseurs pédagogiques du secteur de l'éducation de penser vite pour trouver des solutions convenables afin de sauver le projet d'une véritable catastrophe et à l'état d'intervenir urgent pour sortir le programme de reforme prévu de la pagaille qui l'entoure,surtout depuis que le pays avait attaché ses attentes élevées avec grand espoir à cette décision pour le décollage du développement culturel et humain en général3.La cinétique de la réforme avait besoin d'un soin intensif avant l'émergence du plan d'urgence afin d'éviter les obstacles et les impasses qui ont accompagné le chemin de la décennie de la réforme,en e concentrant sur certaines conditions nécessaires pour compléter la réforme.parmi ce conditions,trois ateliers ont été alloués en premier lieu l'obligation de la scolarisation jusqu'à l'âge de quinze ans,alors que le deuxième atelier a pour but d'encourager les apprenants à inspirer l'esprit d'initiative et de motivation pour avoir du succès dans le secondaire et à l'université,par contre le troisième atelier aborde les problèmes qui flotte sur la surface du système éducatif et enfin de se hâter pour réaliser et fournir les raisons invoquées pour l'excellence et la réussite.

La question se pose dans cette section sur le conditions des scénarios futurs des résultats de ce plan,surtout que le système éducatif inclure la divulgation de l'impact de l'état de la société et le conditions économiques qui les entourent et d'étudier les objectifs et les finalités et leurs développement et la nécessité de les lier aux exigences de l'époque4.

Les conditions qui précèdent figurent dans le rapport du conseil suprême de l'éducation et formation en tant qu'institution constitutionnelle spécialisée dans les questions d'éducation et de formation,ce rapport fut la première émission par cette institution,rédigée au cours d'une année et cela dans le cadre de ses fonctions qui lui sont confiées par les dispositions du Dahir pour le ré-organiser.Derrière la délivrance de ce rapport,il y avait l'idée d'une étude objective pour faire un diagnostic à l'état du système éducatif avec tout les composants qu'il contient en présentant les recommandations nécessaires au conseil en vue de développer le système du tutelle5.Dans le cadre des principes,des directives et des recommandations contenus dans le rapport du conseil suprême de l'éducation,vingt projets ont été déterminés qui sont parmi les conditions que nous avons mentionné,afin d'accélérer l'application de la réforme prévue.Parmi les importants projets adoptés et mis à l'application,le développement de l'enseignement préscolaire,l'expansion du département d'enseignement pour inclure la plus grande partie du territoire national,la réhabilitation des établissements scolaires,l'accès à l'enseignement obligatoire,la lutte contre le dop-out scolaire et le phénomène du redoublement des classes et présenter l'aide aux enfants démunis.

En plus des projets qui ont visé le coté éducatif,administratif et logistique,des piliers ont été fixés pour objectif de réhabiliter les ressources humaines par le soutien des capacités des cadres de l'éducation et fournir le soutien suffisant aux mécanismes de l'encadrement et suivre la procédure du suivi et d'évaluation des cadres de de l'éducation et formation.

Malgré les déclarations émises par le ministère de l'éducation nationale sur quelques-uns des résultats encourageants qui ont résulté de la politique de réforme dans le plan d'urgence,ont été des résultats incertains pour l'intérêt des zones surtout en milieu urbain en exception le monde rural qui respire dans des problèmes de différentes facettes,pourtant le plan a traversé des étapes pour être près de sa fin vers la réalisation des objectifs pour lesquels il a été fait,mais les observateurs et les acteurs significatifs d'enseignement et autres dans le domaine de l'éducation ont droit de s'interroger sur le sort de projet,où l'on note des réserves faites par ceux qui sont causés par les craintes et les doutes sur la réalisation de cet objectif du programme de réforme envisagé ou il revient à la situation désespérée de son succès,telles que la détermination de la réforme au long de la décennie avant le plan d'urgence qui a culminé son échec avec regret la critique embarrassante émergé du monde,selon le rapport,y compris la communauté internationale et ce qu'a raté cette décennie sur le pays des occasions de prospérer et les dépenses que leur a demandé cette décennie qui a coûté beaucoup d'argent pour augmenter la catastrophe du niveau d'instruction et le pays en général un goulot d'étranglement sur le plan économique.Cette décennie a été gaspillée à l'époque où la nation avait besoin d'une immunité contre la concurrence internationale et à l'exception dans une ère de la mondialisation et les fluctuations économiques qu'a tiré ses sillages qui ont absorbé les ressources du pays et ont drainé les richesses de la nation6.Malgré le décollage lent et pulvérisé pour la réalisation de ce qui est signé dans le plan d'urgence,il est injuste de nier quelques gains qu'il a réussit à atteindre,aussi les observateurs n'ont marqué aucun silence dans le cadre de cette réforme sur les réalisations des achèvements telles que la réhabilitations d'un certain nombre d'établissements scolaires,la réparation et rénovation des salles de  classe afin de confirmer ce qui est dans  les articles du projet de génération de réussite scolaire et l'attention accordée par le ministère de l'éducation aux espaces sportifs,il les a équipé des outils et des fournitures nécessaires,cela dans plus de huit cents établissements,en réponse au programme pour l'avancement de l'éducation physique et la promotion soulignée du sport scolaire et la mise en oeuvre des programmes pilotes visant un soutien social pour les élèves provenant des milieux nécessiteux telle que le programme "TISSIR",l'uniforme scolaire et le transport des écoliers dans certaines régions,aussi la distribution d'un million  de cartables vient s'ajouter à ces programmes qui ont été atteints ou au processus d'être mis en oeuvre.Dans un interview réalisé par la deuxième chaîne marocaine7  " 2M"  le mercredi 23/02/2011 avec Mme la secrétaire d'état dans le secteur scolaire en vertu du programme"les points sur les i" des questions ont été posées par le superviseur du programme sur la détérioration de l'enseignement au Maroc surtout dans le milieu rural où le niveau scolaire et réellement défavorable et sur lequel la deuxième chaîne avait présenté des preuves vivantes représentées dans des reportages indiquant par des enseignants dans des établissements scolaires dans le monde rural la réalité de l'état régressif de l'enseignement au Maroc et aussi l'état misérable que présentent les élèves résidants à la campagne.D'autre part Mme la secrétaire d'état avait déclaré que le reportage avait indiqué les établissements qui n'étaient pas couverts par la réforme d'où près de dix mille établissements scolaires attendent leur achèvement pou la rénovation,elle a ajouté que le projet de réforme n'est pas encore terminé et que le budget n'est pas suffisant pour couvrir toutes les dépenses des établissements en question en particulier celles qui ont besoin de répartition,d'après ses paroles à l'horizon de la fin des trois ans de la réforme,toutes les établissements de la nation seront équipées avec ce qui est  nécessaire du matériels,Mme la secrétaire d'état avait précisé aussi que la responsabilité de la réforme n'est pas assumée sur le ministère seul mais il la partage avec les collectivités locales et les les partenaires sociaux,chacun de son coté pour l'avancement du secteur de l'enseignement,Mr Amine Sbihi responsable au ministère de l'éducation nationale avait ajouté qu'il doit être décisif dans la garde des établissements scolaires pour sauver l'état des dépenses inutiles et les surcharges.

A coté des établissements scolaires,les collectivités locales doivent jouer leur rôle dans ce contexte,et à faire le suivi et l'évaluation des établissements pour la réadaptation afin d'éviter appréhension et la peur du gaspillage d'argent.

Malgré les divers programmes présentés par le plan d'urgence qui ne reste dans sa vie que quelques mois seulement,il a jusqu'ici échoué à trouver les solutions appropriées aux nombreux problèmes de l'éducation.Par exemple,l'UNESCO avait noté l'échec du gouvernement marocain par le fat que ce gouvernement qui s'était engagé à généraliser la

scolarisation   8à l'horizon de 2015 où le taux de la scolarisation n'a pas atteint le seuil demandé jusqu'à 2010 en plus des droits brûlés des professeurs qui exercent leur fonction dans des milieux très loin pendant de longues années sans aucune intervention par le gouvernement pour changer leurs situations ou améliorer leurs milieux sociaux.Et ce qui prouve que la situation de l'enseignement reflète la contradiction le programme de la réforme avec la réalité,le comportement anti-pédagogique des jeunes dans la rue ce qui indique réellement la baisse du niveau de de l'éducation parfois,et d'autres fois le mécontentement des jeunes du régime éducatif suivi dans notre pays,et leur descente à la rue pour la demande de l'équité et la démocratie d'après l'association qu'ils ont crée9le 20 février 2011.Si l'enseignement se produit comme dans les autres pays dans un cadre politique dans le  but de servir la société et comprend certains grands objectifs,il devra être une expression des relations sociales et économiques associés entre les composants de la société entre les catégories de cette société loin des conflits entre les parties sociales.Dans ce cadre on observe ces dernières années l'augmentation du nombre des établissements scolaires dans le secteur privé10ce sens démolit le genre de la démocratie bâti par les pays développés surtout que notre pays aspire à construire une société démocratique d'après le premier article de la constitution marocaine11.Mais malgré les déclarations parvenues par le gouvernement qui mettait l'accent d'avantage sur la réforme de l'éducation publique,cependant la vérité émise par une citoyenne prouve que l'enseignement privé profite d'une éducation prospère d'après l'équipement moderne disponible dans les établissements scolaires privés et la tranquillité que vivent leurs élèves12.Ce qui attire l'attention et le plan d'urgence termine ses dernières pages,que le nombre des établissements privés augmente pour arriver actuellement à 10%. 

Malgré les réalisations effectuées jusqu'à présent,les observateurs ont enregistré que le pan de réforme est parsemé par de nombreuses lacunes et obstacles plutôt il y a des aveux par les praticiens de l'opération éducative avec déception et l'anticipation de jouer les attendus.Parmi les lacunes qui peuvent pas être surmontées,la surpopulation dans les salles de classe et les pénuries en ressources humaines,avec le déficit d'enseignants,par exemple,dans la ville de Salé a atteint un pic durant l'année scolaire 2010-2011,au départ ces établissements avaient besoin de plus de 150 cadres en enseignement13.Ce phénomène se reflète négativement sur la rentabilité dans les résultats scolaires en plus de la fatigue dont se plaignent de nombreux cadres éducatifs.Les cadres de l'administration scolaire ne sont pas exceptés à se plaindre des,or ils n'ont aucun moyen qu'à satisfaire les chefs parfois et d'autres fois les partenaires,leur préoccupation s'intensifie tout en essayant de mettre en oeuvre les programmes pédagogiques en faisant des efforts en collaboration avec les cadres qui travaillent dans leurs établissements scolaires.En l'absence d'une formation réussie,des cumules de pratiques des cadres pédagogiques et administratifs ne répondent pas à ce que attend le plan d'urgence surtout que la décision de l'organisation du programme de formation continue a été prise pendant la décennie de réforme 2000-2009.Les directeurs des établissements scolaires sont obligés de partager les tâches avec  la comité d'encadrement pédagogique à la lumière des charges qui pèse sur eux14.Les possibilités pour la réhabilitation de des établissements scolaires,les contraintes associées à l'élément humain et le matériel limité,sont des composants dédiés à la faiblesse de la rentabilité de l'enseignement au Maroc.le coté de la gestion n'est pas excepté dans de faiblesse dans ce domaine surtout il ne nécessite aucun effort sauf la volonté et l'activation.

Il était prévu que le plan d'urgence apporte une meilleure méthode de travail d'autant que ce plan se concentre sur le projet15 .Mais basé sur la réalité et de ce qu'a entraîné les résultats,tout le monde était sûr qu'il y a des difficultés ont empêché la réalisation des objectifs visés.la faille réside dans la gestion des mécanismes d'exécution de ces projets,ce ne sont pas les exigences des projets apportés par le programme de réforme qui présentent le centre de l'anomalie,d'après les critiques de ces défauts,le consensus a été établi sur la prestation de soins au coté humain avant le contenu des projets et cela signifie en effet  la qualification des cadres pédagogique et administratifs pour la mise en oeuvre des articles des projets,parce que ces cadres sont concernés par la pratique réelle dans le domaine,car la main vide ne peut rien donner.Il faut créer un lien de communication entre ces cadres et la comité qui a pensé à ce plan d'urgence16 .Il était également prévu pour les informer des détails des articles et les projets inclus dans ce programmes et de leur donner l'occasion de comprendre,et c'est ce qu'on appelle dans la coutume administrative la communion quand il y a entente entre l'administration et la pratique afin d'amener la compréhension et la coopération en matière de la planification et de stratégie dans l'approbation des travaux loin du landing des décisions et le rejet des propositions des cadres de l'enseignement et leurs interventions dans ce domaine.

Les blocages rencontrés par le plan d'urgence découlent d'abord de la gestion administrative,qui maintient encore les mécanismes et procédures servis au par avant,le chevauchement qui a touché les organisations administratives a été affronté par une difficulté de gestion à l'aide des lois et de nouveaux textes réglementaires,ce qu' a entraîné un conflit au niveau de la mise en oeuvre entre ces textes et le plan du projet,comme requiert le droit de modifier certains des organes d'administration et de provoquer de nouvelles cellules17.Au niveau de la mise en oeuvre,il a été obligé de de penser à la juridiction dans le cadre des projets,à cet égard on ne vise pas à établir de nouveaux mécanismes de contrôle,mais l'objectif est tout à fait au contraire c'est aider les praticiens dans la mise en oeuvre de ces projets avec l'adoption d'un nouveau plan pou le suivi,ce qui produira un consensus entre les organes administratifs au niveau de la pratique et la compréhension et entre le déséquilibre qui peut être noté également au niveau de la gestion,la coordination faible des services et les directions du ministère de l'enseignement scolaire et entre les académies et leurs services provinciaux.La mise en oeuvre des projets a été souvent en attente d'une rechute par les services centrales dont la procédure ne se produit à l'aide des gestes par le ministère ce qui explique pourquoi le travail est due à l'absence de la logique du droit et que les intérêts du ministère et ces services extérieurs doivent nécessairement qualifier leurs travaux dans le cadre de la décentralisation au niveau de la mise en oeuvre des projets.La plupart du temps nous entendons par les responsables et les chefs des directions et des divisions au ministère la nécessité d'attendre ou demander conseil au services centraux dans la mise en oeuvre et la même procédure se produit au niveau des délégations provinciales du ministère.La décentralisation et la déconcentration administrative en particulier dans la mise en oeuvre des projets telle que la réforme a besoin de l'application pour accélérer le rythme de développement et d'innovation et de garder le rythme avec le temps.Dans ce contexte nous nous référons à l'utilisation de la technologie de l'informatique,en particulier dans la gestion du programme d'urgence notons que tous les efforts visent à développer le système d'information dans le secteur de l'enseignement scolaire et la faiblesse est enregistrée dans l'utilisation des ordinateurs pendant l'application des articles des projets,tant au niveau des administrations ou dans les établissements scolaires sachant qu'il existe le projet E3P5 concernant le renouvellement et la modernisation du système de l'information pour améliorer la qualité des services dans ce domaine,or personne ne nie l'endommagement qui a touché l'équipement informatique en plus de l'absence existant dans les logiciels afin de les protéger contre les attaques des virus aussi dans une absence d'un réel entretien du matériel utilisé afin de garder la diligence dans le domaine de l'informatique et nous savons tous que l'utilisation des réseaux informatiques dans cet âge est devenu nécessaire dans tous les secteurs de l'administration et à cet égard ne tient pas l'exception du manque sévère des cadres spécialisés dans le secteur de l'informatique18 .

Les causes des mésaventures du programme de réforme n'étaient pas dues à la motivation interne des erreurs politiques,administratives,stratégiques ou l'application des articles du programme seulement,mais aussi des raisons externes ont été réside dans les orientations et les prescriptions de la Banque mondiale,bien qu'elles semblent positives.La politique d'austérité imposée sur le Maroc et la restructuration de certains secteurs sociaux et cervicaux étaient le département de la position molaire dans la crise de l'enseignement au Maroc,la situation sera de plus en plus désastreuse devant les recommandations pour la privatisation du secteur de l'enseignement surtout que le pays est en confrontation sévère à la suite des restes de la crise économique mondiale19 .Les dépenses financières et la capitalisation recommandées par la banque mondiale ne correspondent pas à la situation du Maroc comme pays pauvre qui est entrain de bâtir son avenir et de grimper l'échelle de croissance sociale et économique aussi le niveau culturel de la société marocaine ne permet pas d'appliquer les conseils de la banque mondiale pour des raisons attachées tantôt aux coutumes et aux traditions et d'autres fois la situation des familles ce que rendra la situation de plus en plus grave n'oublions pas les différenciations qui découleront suite aux directives de la banque mondiale.

La politique éducative qui devrait être suivi nécessite une étude globale et approfondie sur le champ pour la situation sociale et révéler les secrets derrière la baisse du niveau des vies des familles ou les causes de la pauvreté parce que le principal facteur dans le déclin,la délinquance ainsi que l'abandon scolaire,c'est un facteur principalement social et économique.Les pertes qui résultent de l'abandon scolaire et la non scolarisation est estimée à 1% de production intérieure brute ce qui veut dire un montant avoisinant cinq milliards et huit million de Dirhams Marocains,ceci est reflété dans les résultats d'étude réalisée par le secrétariat d'état à l'alphabétisation et l'éducation informelle pendant l'année 2006,ce étude a rapporté aussi que le coût global de la perte découlant du phénomène de l'abandon scolaire dans chaque année scolaire supplémentaire dan l'enseignement primaire entraîne une hausse des salaires de 7,12% comparativement à 4,1% dans l'enseignement secondaire des deux types20.

Le marché du travail reflète le vrai visage de l'état de l'enseignement,ce qui prouve cette tendance les paroles des journalistes et des chercheurs.En effet un article sur le journal marocain "l'économiste"a été écrit ce qui suit:<<il y a bien longtemps qu'on a pas vu les chiffres de chômage augmenter.Au contraire,de trimestre en trimestre il baissaient doucement jusqu'à tomber au dessous de 9%,ce qui était un record pour le Maroc .Or,voilà qu'un deuxième trimestre de 2011,les résultats sont mauvais:l'emploi est à la baisse,le chômage àla hausse...

Juste au moment où,enquête à l'appui,on sait que ce qu'attendent les jeunes,c'est de trouver plus facilement du travail,c'est si puissant chez eux qu'ils espèrent que la nouvelle constitution améliorera le marché du travail..! 

Or,qu'y a-t-il en face?la poursuite d'un phénomène gravissisme:l'exclusion des jeunes.Le taux d'activité des 15-24 ans est tombé de 5% en cinq ans.Sur cette période,qui était favorable et a connu les plus fortes créations d'emplois,les jeunes de 15-24 ans sont la seule catégorie à être pénalisée.De plus,les chiffres montrent qu'il n'y a pas rattrapage après 24 ans.C'est l'exclusion pure.

En cause,évidemment,la qualité de l'enseignement...>>.21

  Le docteur Mamoune Drissi affirme dans une rencontre avec la deuxième chaîne de télévision Marocaine,que le niveau de savoir au Maroc est le plus faible dans le monde.Il a avoué aussi que les fardeaux mis sur le professeur sont les principaux causes de ce problème,d'une part le déficit du nombre des professeurs d'autres parts le surplus des élèves  que connaissent les classes d'étude.22

   De sa part la journaliste Miriam Ouadriri avait déclaré dans un article du journal "l'économiste":<<Il remonte à l'éducation que l'engagement du citoyen provient de l'apprentissage,il est donc du devoir de l'école de former et d'autoriser aux enfants à acquérir de nouveaux comportements et d'une nouvelle compréhension pour une inclusion sociale et économique dans laquelle ils sont intégrés.En un seul mot ils apprennent à être des hommes modernes et responsables.A la poubelle l'ossification et la sclérose intellectuelles qui imposent le droit de préparer les citoyens de demain!

Aujourd'hui nous avons besoin d'une génération capable de s'exprimer de faire preuve de créativité et de prévision,la construction des normes et modèles.Avec tous mots modernes,la condition qu'ils soient utils à quelque chose23.      

 


     Références bibliographiques

  1-Sciences de l'éducation,revue marocaine spécialisée Décembre 2010 N°46 page 50

  2-IDEM page 56

  3-IDEM page 37

  4-Morris Charbel."Contemporain intellectuel moderne de l'éducation",première édition page 14 (en arabe)

  5-Sciences de l'éducation.Revue marocaine spécialisée N°42,page 8

 6-http.//www;tarbia.localhost/play-5430.html

 7-Emission"les points sur les i ",la deuxième chaîne marocaine.production 2011,Mercredi 23/02/2011

 8-IDEM.Mohammed Sectaoui président l'association"Solidarité Universitaire Marocaine"

 9-IDEM.Emission 2M

10-IDEM.Emission 2M,le journaliste IDRISS

11-Morris Charbel."Contemporain intellectuel moderne de l'éducation",première édition,page 14 (en arabe)

12-IDEM.Emission 2M participation d'une citoyenne à la discussion

13-IDEM.2M participation du chef de l'émission

14-http//www.tarbia.localhost/play-5430.html

15-Le royaume du maroc.Le conseil suprême de l'enseignement,la situation de du système de l'éducation et de     la formation et son horizon.La première partie. la réussite d'une école pour tous.Le premier rapport annuel de     2008.

16-Science de l'éducation.Revue marocaine spécialisée N°44 Juillet 2010,page 27.Mly Abdelaati Lasfar

17-IDEM.Revue marocaine spécialisée N°44 Juillet 2010,page 28

18-IDEM.Revue marocaine spécialisée N°44 Juillet 2010,page 28

19-IDEM.Revue marocaine spécialisée N°41 Septembre 2009,page 48

20-Dr.Mohammed Abdennabi Rajouani."Pour une réforme de l'enseignement".Distribution Azzamane livre N° 20 2007,page 18

21-Leconomiste N°3592 du 08/08/2O11.Par Nadia Salah

22-Dr.Mamoun Drissi.2M,le journal télévisé du Dimanche 18/10/2011,à 12h:59  

23-Leconomiste N°3526 du Mardi 10 Mai 2011.Par Miriam Ouadriri   


                                                                         

 

  

                              

 

   

   

 

 

 

   

 

 

 

 

 

 

              

         

  


      

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 


 

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